Conçu pour assurer la conformité des produits halieutiques aux standards internationaux, le nouveau laboratoire est doté d’équipements modernes et d’une expertise scientifique avancée.

Selon nos confrères de RTS Info, cette infrastructure moderne répond à un enjeu majeur pour le Sénégal : renforcer la compétitivité de sa filière halieutique tout en assurant la sécurité sanitaire des exportations. Sa construction s’inscrit dans une dynamique de modernisation du secteur maritime, pilier économique du pays.Sa réalisation a été rendue possible grâce au soutien technique du Japon.

Dans un post sur son compte Facebook, la ministre des Pêches et de l’Économie maritime, Dr Fatou Diouf, a salué « le partenariat technique du Japon, dont l’appui a été décisif dans la concrétisation de ce projet, ainsi que l’engagement de toutes les équipes qui ont œuvré à son exécution en un temps record ».

Les travaux, entamés en mai 2024, se sont achevés en septembre 2025, traduisant la rapidité et l’efficacité de la collaboration entre les équipes impliquées.

Au-delà du contrôle qualité, cette infrastructure s’annonce comme un catalyseur de transformation pour l’économie bleue sénégalaise. Elle offrira aux pêcheurs, industriels et exportateurs de meilleures perspectives de valorisation de leurs produits et renforcera la place du pays sur les marchés internationaux.

Prévue pour être opérationnel les mois prochains, ce laboratoire se positionnera comme « un levier de transformation pour accompagner les pêcheurs, les industriels et l’ensemble des acteurs du secteur vers une meilleure valorisation et une reconnaissance accrue de nos produits sur les marchés internationaux ».

1. Beugré